Qui es-tu ? Nom (ou pseudo réseaux sociaux), âge, profession
Barbara (Barb Ara sur Facebook), j’ai 48 ans et je travaille en tant qu’assistante administrative dans une entreprise de conseil en éclairage.
Comment et quand as-tu connu les Fatals Picards ?
Par hasard, avec la chanson Bernard Lavilliers, car ma sœur faisait une parodie pour l’anniversaire d’une de ses copines qui avait un nom de famille qui collait parfaitement.
Qu’est-ce qui t’a fait accrocher ?
J’ai écouté un peu à l’époque c’était drôle, fun, mais j’avais parfois beaucoup de mal avec la voix d’Ivan. J’ai complètement accroché avec Paul et encore plus en 2010, avec le journal de bord de Coming Out fait quotidiennement par Laurent, sur Facebook. Là, j’ai eu un coup d’humour pour eux. Ce journal était mon exutoire de cette année charnière dans ma vie.
Quelle est ton anecdote la plus galère autour d’un concert ?
Aller à Dijon (JON) pendant la grève SNCF, ne m’y rendre qu’à l’aller en train car pas de train de retour. Ma fraude au métro, totalement involontaire, et surtout le retour pour chez moi que je n’ai pu faire que grâce à Isa qui s’est tapé des kilomètres pour me ramener au plus près de chez moi, avec des blablacaristes bien en galère eux aussi !
Quelle est ton anecdote la plus mémorable autour d’un concert ?
Il y en a plein, comme se petit concert au Trousse Chemise où on était quasi sur scène avec eux puisque la scène était à notre niveau ou le premier ou Paul, sur scène, s’est adressé à moi directement, il sait y faire le petit malin…j’étais déjà #teampremierrang et je le suis restée. Mais allez j’en choisis un ! Ce fameux concert à Dijon, où nous nous sommes retrouvés entre relous, nous avons fait la Team Licorne et où nous sommes montés sur scène avec Olivier, Thierry, Isa et moi pour le reich des licornes.
Si tu ne devais retenir qu’une seule chanson, quelle serait-elle ?
Alors là, c’est la colle… il y en a toujours au moins une par album, qui a ma préférence, donc je vais taper dans les dernières, avec Sucer des cailloux, ou Morflé pour l’émotion, et surtout après l’avoir vu sur scène et toute l’émotion qu’elle a suscité chez Poupou.
Tu les aimes tous, mais c’est lequel ton préféré, et pourquoi ?
Je suis une Poupouphile dans l’âme, je peux l’avouer, j’ai colporté la poupoufayotitude quand je m’occupais des groupes fans, « Ce n’est pas Paul qui est l’amour, c’est l’amour qui est Paul » ou « Ce n’est pas Paul qui est beau c’est la beauté qui est Paul » 😊 ou #PaulMonHéros, j’aime beaucoup en rire avec lui. Son grain de folie m’a séduit, je m’y retrouvais. Encore plus quand je l’ai rencontré en vrai, parler avec Paul était l’évidence même, ça coulait tout seul, c’est mon poupou, quoi. On pourrait parler des heures, j’adore Poupou.
Celui qui m’impressionnait le plus était Laurent alors que parler avec lui a été aussi simple qu’avec Paul. Jamais je n’aurais pensé échanger des recettes de cuisine avec lui la première fois qu’on s’est rencontré ou d’autres choses sur sa famille. Je pourrais l’écouter des heures, j’adore Laurent.
Yves étant plus discret, c’est avec lui que ça a pris plus de temps alors que c’est quelqu’un que j’adore, puis un jour, c’est venu, il avait dû s’habituer à ma trogne aussi. ^^ Il a toujours un petit coucou si tu le filmes, toujours un petit geste, toujours un bisou, un mot gentil. J’adore Vivou.
Et Jim, ça a fait aussi comme avec les deux premiers ! Sa première phrase quand on s’est rencontré : « il y a des gens qu’on a l’impression d’avoir toujours connu ! », Jim c’est la gentillesse, l’esprit paternel du groupe, je suis impressionnée par ce qu’il arrive à faire et à gérer. J’adore Jim.
Au final, je suis une fatalphile (à tendance poupouhile quand même 😉 ).
Quelle citation d’un de nos 4 garçons te conviendrait le mieux ?
Une que j’use et j’abuse : le hasard fait bien le hasard. Phrase dite par le Faucon d’argent.
Pour conclure, qu’est-ce qui fait de toi un(e) fatal fan ?
Je me suis occupée des groupes fan quasi seule pendant plus de deux ans (merci à Thierry qui m’aidait bien et Marie aussi), j’ai créé la carte des dates de concerts en France, (merci à Benoit pour ses infos), j’animais des petits jeux autour du thème des fatals… Puis n’ayant plus le temps, j’ai passé la main à la super équipe que vous avez maintenant, et je suis redevenue une « simple » fan, mais toujours relou d’après Paul ! C’est lui qui a inventé le terme de relou pour Isa en tout premier. Puis un jour, au fameux concert du Trousse Chemise, il nous voit et dit « tiens, vlà les relous », et suite à une conversation intéressante avec lui, on a pu déterminer les différents niveaux de fanitude. J’étais devenue la pauvre fan relou car je ne traversais pas la France pour aller les voir aux quatre coins, faute de moyens. Mais j’avais toujours mon statut de relou, c’est un honneur. 😉